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Pépère le chat du poète, suite.

Rêveurlunaire

Maître Poète
#1
Fle fle fle, ce soir-là Coin-coin et moi étions avec Un-œil pour la répétition du bal aquatique pour la cérémonie des chats olympiques.
Isidore était là avec son cousin Erodisi, car ce sont eux qui ont écrit la chorégraphie avec ma love gendarme poète.
- Toc toc toc, d'un seul coup, love gendarme localisait l'objet en question grâce à ses lunettes infrarouges.
C'était un drone et love gendarme appelait Coin-coin pour qu'il le suive à distance.
- Fle fle fle, je me dépêchais, mais malheureusement, à cause d'un épais brouillard, je perdais sa trace.
Pendant que Coin-coin et Pêcheur racontaient cette histoire à Dranac, sans le savoir, ils arrivaient vers Pépère qui était accompagné de sœur Mathilde Lolo et Ettesion.
Dranac, saurait-elle la fin de cette histoire.
La sœur fut la première à apercevoir, Coin-coin et Pêcheur de loin.
- Mon chat fils Pépère, je pense que nous sommes très proches de l'auberge des moines.
- Ça m'étonnerait beaucoup, vous auriez écouté le bruit des seize soupapes de la xsara vous rugir aux oreilles.
- Vous pensez mon chat fils Pépère ?
- Évidemment et vous n'auriez plus qu'à mesurer votre métrage tensionale.
- Qu'est-ce que c'est que ça mon papa, le métrage tensionale.
- Oui, Pépère sœur Mathilde a raison, regarde deux cents mètres sur la gauche devant nous. Il y a, Pêcheur, Coin-coin et Dranac qui sont arrêtés sous un arbre.
- Écoute, Lolo quand tu parles de crasseux, je ne te coupe pas la parole. Non, sœur Mathilde n'a pas raison parce que Pêcheur Coin-coin et Dranac sont devant nous. L'auberge des moines n'est pas cachée dans un bois et on serait plutôt proche de la mare à Coin-coin.
- Mais mon papa, tu n'as pas répondu à ma question.
- Oui, Ettesion, mais quelle était cette question. Tu m'excuseras, mais Lolo m'a coupé la parole.
- Qu'est-ce que c'est, le métrage tensionale.
- Hé bien, ma fille écoute, comme je vois Pêcheur, Coin-coin et Dranac arrêtés sous cet arbre en face, j'ai le temps de te répondre.
S'ils sont sur place, c'est certainement qu'ils ont été dérangés par Hervère la vipère.
- Vous avez peur des vipères mon chat fils Pépère ?
- Pas du tout, sœur Mathilde, je les combats à coup de queue et n'en ai pas peur.
Ce n'est pas comme mon soûlard qui en avait la frousse quand il était petit.
C'est pour ça qu'aujourd'hui, il ne marche plus comme une tortue.
- Je ne vois pas quelle rapport il pourrait y avoir entre marcher vite aujourd'hui et une vipère hier, mon chat fils Pépère.
- Hé bien, sœur Mathilde, c'est pourtant simple. Vous voyez, je vous l'avais bien dit que vous aviez besoin de cours de moyenne compensée démoyennisée en la moyennisant comme il le faut.
Si vous maîtrisiez parfaitement ce calcul savant, vous auriez compris autant que ma fille et Lolo.
Bon, je vais vous l'expliquer, d'ailleurs, c'est en rapport avec le métrage tensionale.
Sachez sœur Mathilde que mon moinillon petit marchait à la vitesse d'une tortue. Et encore, une tortue allait plus vite que lui.
Le soir avant le souper, il avait pris l'habitude de jouer à côté de la maison.
À vingt heures, ses parents s'écriaient, hé petit moinillon, c'est l'heure de souper.
Malheureusement pour eux, à presque minuit, ils attendaient toujours.
- Ha oui, et comment se fait-il, Pépère ?
- Hé bien, Lolo, simplement, c'est qu'il était aussi lent que Charles magne toi.
Il lui fallait trois à quatre heures pour faire une distance de deux mètres.
Voilà pourquoi fréquemment, il avait le droit au métrage tensionale.
Bon, tu as compris ma fille, nous pouvons repartir ?
- Pas vraiment mon papa, je n'ai pas tout compris.
- Bon, je vois ce que c'est, tu as besoin de cours de moyenne compensée démoyennisée tout comme sœur Mathilde.
Mais où Pépère voulait-il en venir encore une fois ?

La suite demain..